Vous avez déjà vu ces images... en première page.
Ce sont des flash sur des moments importants de notre vie de marin.
Après avoir fait la "une" de notre site, elles sont archivées ici.

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2011



Dimanche 25 décembre : Il y a des signes qui ne trompent pas... c'est Noël !
Et pour que les fêtes soient belles, le frigo doit être frais... petit réglage grâce à Jean et son matériel de pro.
Café de Noël dans le cockpit ce matin avec Jean, Françoise, Gislaine et Pierre, en compagnie desquels nous avons mangé la dinde au restaurant hier soir.
Mais notre plus beau cadeau cette année, c'est l'arrivée de Yann demain !




Mercredi 14 décembre : Bon, d'accord, chacun le sien (cliquez pour voir le nom du paquebot), c'est mieux comme ça ! Mais je ne suis pas certaine que les habitants du monstre qui cache à moitié St-Georges aient le plaisir de faire leurs courses auprès des petites marchandes et de tester chaque jour une recette différente avec les fruits et légumes locaux, par exemple les fruits à pain qui sont au premier plan.



Mercredi 7 décembre : Nous retrouvons avec un grand plaisir St-George, capitale de Grenade, avec ses maisons en briques
et des décorations de Noël plus rustiques que celles de Nyon !
Côté genou, celui de Pierre a obtenu plusieurs certifications à ce jour :
- monter et descendre de l'annexe, y.c. sur un ponton branlant
- faire l'équilibriste sur le portique pour réinstaller l'éolienne,
- palmer et plonger pour pêcher la langouste
- remonter sur l'annexe depuis l'eau
- supporter le taxi collectif aux amortisseurs défaillants,, coincés à 4 par rangée, genou bloqué contre le siège avant.
Il n'a échoué qu'une fois, pour les mouvements de la brasse. Mais comme il ne vise pas le 400m quatre nages, pas de problème !


Mercredi 9 novembre : Suite aux nombreuses réclamations concernant la mise à jour relâchée du site, voici quelques images de Pierre pour vous rassurer.
La prochaine étape, dans trois semaines, c'est de monter dans l'annexe !



Dimanche 18 septembre : Premier jour de pluie... et c'est le jour que je choisis pour photographier notre vie de chalet... au bord du lac ! Il faut bien inaugurer le nouvel appareil photo, et vous montrer Pierre en plein travail. La "kinétec" lui permet de récupérer progressivement l'angle de flexion de son genou, ceci en plus de la physio traditionnelle. Il en est à 85 ° et devrait arriver à 110° minimum ! Il y a encore du boulot !
Ce chalet est une maison d'hôte appartenant à des amis (qui vivent dans celui qu'on aperçoit à côté). Pour ceux d'entre vous qui voudraient faire un séjour lacustre, je le mettrai dans les "pages pratiques" dès que la publicité sera disponible.
Devinette : Si je dis "chalet" et "mauvais temps"... à quoi pensez-vous ????? (réponse)


Mercredi 31 août : Bon... Je me relâche... Pas de nouvelles depuis le 6 août... Mais qu'est-ce-qu'ils font les Bonjour ?
Eh bien, nous sommes en Suisse et nous profitons d'un temps ensoleillé et parfois même tropical ! J'ai trouvé un remplacement en classe enfantine quatre matins par semaine et Pierre se prépare à son opération (prothèse du genou) prévue vendredi. La vie de terriens quoi ! Avec, en prime, le folklore suisse lors d'une ballade au marché de Vevey. Ca change du carnaval de Grenade !



Mercredi 10 août : Anegada est hors de l'eau au chantier de Grenada Marine. Ces derniers jours, entre les nettoyages, rangements et préparation du bateau, nous avons un peu profité du carnaval local. Les parades se sont succédées lundi : la première, en fin de nuit, pour laquelle les participants se couvrent d'huile moteur ou de peinture (joli diaporama de l'an dernier trouvé sur youtube), la seconde très colorée et la troisième, de nuit à nouveau, avec force lampes fluorescentes. Toutes les trois se font au rythme endiablé du calypso diffusé par des piles de gros haut-parleurs entassés dans des camions. Les cris/hurlements des DJ encouragent les danseurs. Tout ce qu'on aime !
Nous avons regardé la fin de la première parade depuis le zodiac, de peur d'être encerclés par ces bras huileux... nous avons apprécié la seconde sous un soleil de plomb et subi la troisième (que nous n'avions pas prévue !!!) depuis le mouillage. La force de la musique est insupportable même à 500 m et nous entendions trois camions à la fois ! Finalement c'est hublots fermés et ventilateur en marche que nous avons pu nous endormir !


(photo Steve Brett)

Mardi 2 août : Nous sommes de retour d'une petite semaine de croisière dans le nord de Grenade, île Ronde, White Island et Carriacou où avait lieu le "Regatta Festival" annuel. Nous n'avons en fait pas vu grand chose car entre les changements de parcours, les retards de départ et le nombre de plans d'eau et de séries (de l'Optimist aux voiliers de croisière en passant par les bateaux traditionnels), on n'était jamais au bon endroit au bon moment ! Mais l'île est en fête et l'ambiance est bien sympathique. Malheureusement, une alerte de tempête tropicale couplée à une panne de guindeau nous ont convaincus d'abréger la ballade.



Jeudi 21 juillet : Bon... le régime annoncé la semaine dernière n'est pas insupportable... on saute un apéro sur deux (ce soir, c'est exception car on étaient invités sur un autre Sun Kiss..., vendredi on peut pas sauter car TGIF, samedi soir c'est exception car il y a concert reggae...) et on mange léger mais frais : sashimi de thon (on a aussi fait des conserves, rassurez-vous !) et cigales de mer pour remplacer la langouste dont la saison est fermée. Mon poissonnier est toujours aussi efficace !


Jeudi 14 juillet : Après les Grenadines dépendant de St-Vincent, nous voici aux Grenadines dépendant de Grenade, à Carriacou pour être précis ! Nous arrivons à notre but... L'an dernier, nous étions à Panama à la même période et nous apprécions cette année le climat plus ventilé des Petites Antilles. Depuis notre départ de Panama au mois de décembre, après notre retour de Suisse (le trait vert en travers !), nous avons parcouru 3650 nm, soit 6760 km. Nous avons bien mérité de traîner un peu d'île en île avant de revenir en Suisse dans un mois. Du coup nous nous sommes mis au régime pour préparer les excès de fromage et chocolat à venir !


Mercredi 6 juillet : L'appareil photo a rendu l'âme... j'emprunte donc les photos des autres...
Ici, celles de Capucine et Adrien, un jeune couple dynamique, entreprenant, créatif et enthousiaste que nous avons rencontré récemment. Alors que la plupart des jeunes achètent un ancien bateau pas trop cher et lui font un petit lifting, eux ont choisi de faire construire une coque, après en avoir conçu les plans avec un ami architecte naval. Ils l'ont équipée eux-même intérieurement et accastillée puis ils sont partis pour un tour du monde de deux ans... un peu en retard sur les saisons habituelles pour ce genre de projet puisqu'ils ont traversé la Med en mars, l'Atlantique fin mai et passeront Panama fin août ! Ils continuent de travailler à bord grâce à internet, Capucine étant info-graphiste et Adrien dessinant des voiles.
Leur joli bateau, Capado, est le premier Fox 10.20 mais ils espèrent bien qu'il aura des petits frères !
Si vous voulez en savoir plus sur leur voyage et sur le bateau, deux adresses : levoyagedecapado.blogspot.com et www.capado.over-blog.com




Dimanche 26 juin : Plus de panne... pas de grande découverte à terre... alors Pierre attaque les grands travaux : refaire le teck de la jupe.
Le bois vient de Carthagène, l'huile de coude de Founex... Bravo capitaine !



Lundi 20 juin : Moment historique de cette année 2011 : la génératrice ET le moteur fonctionnent ! Serait-ce la fin de la période "pannes" ? On croise les doigts.
Grâce aux compétences de Fred, électro chez Caraïbe Gréément, la génératrice, en panne depuis décembre, fournit à nouveau du 220 V. Suite à notre passage aux USA, elle produisait de l'énergie, mais seulement du 160 à 200 V. Fred a repris le circuit électrique à zéro et simplement décroisé des fils qui, à force de manipulations par divers électriciens, avaient fini par faire du macramé !



Samedi 11 juin : Mer d'huile pour rallier Les Saintes, mais du mauvais temps étant annoncé sur les îles du nord, nous nous dépêchons de gagner le sud... au moteur. Hier, entre Les Saintes et la Martinique, des dauphins sont venus jouer à l'étrave. L'un d'eux était complètement fou et essayait de sauter le long de la coque pour toucher la main de Pierre. Ensuite, il nous a fait un show avec des sauts de deux mètres hors de l'eau. Nous sommes arrivés cette nuit à Ste Anne en Martinique par une très belle navigation à la voile (enfin !) au vent de l'île.



Samedi 4 juin : St-Martin... nous sommes en France depuis trois jours et nous nous régalons ! Quel paradis pour les papilles !
Nous avons aussi retrouvé "La Comète" que nous avions quitté ici même il y a deux ans pour leur établissement sur l'île et qui sont prêts à repartir pour de nouvelles aventures avec leurs trois moussaillons, direction les USA et le Canada.



Samedi 28 mai : Entre le joli îlot sauvage de Big Sand Cay d'où nous sommes partis des Turks et le jardin de Lili à Puerto Rico, voici notre fier Anegada qui a avalé les milles au près dans 8 à 15 noeuds de vent NE et sur une mer plate. Une navigation très agréable avec 15 heures de moteur seulement sur 54, ce qui est extraordinaire sur ce trajet ! Et quel plaisir d'entendre ce moteur tourner à plein régime sans problème ! Lili, c'est notre première rencontre portoricaine. Chauffeuse de taxi à ses heures pour arrondir des fins de mois qui ne doivent pas être si carrés au vu de sa villa moderne dominant la baie de Boqueron, elle nous a emmenés à Mayaguez pour faire l'immigration. Ensuite, elle nous a proposé d'aller cueillir des mangues, des oranges, des limes, des papayes et même des figues dans son jardin. Voilà un marché vite et bien fait !



Vendredi 20 mai : Nous continuons la découverte de la faune de l'île avec la visite inattendue à bord d'un ou plusieurs rats. Nous avons d'abord trouvé quelques crottes et des paquets de biscuits grignotés. La nuit, nous avons entendu du remue-ménage dans les placards et vu les dégats au coussin du carré. Comme il semble qu'ils quittent les lieux la journée, nous avons, la nuit suivante, fermé tous les hublots et la porte, et mis des trappes. Personne à l'intérieur cette fois-ci heureusement, mais la trappe à l'extérieur a fonctionné. Trop petite, elle a dû juste pincer un bout de moustache. Par contre nous avons vu l'intrus se sauver, se cacher dans la baille à mouillage où nous l'avons aspergé de spray au poivre ! 12 cm de long (sans la queue), gris-brun avec de jolis yeux... J'ai oublié de prendre la photo ! Une heure après, il recommençait son manège. Cette fois-ci, on a testé le spray anti-moustiques à haute dose. Il s'est sauvé le long des amarres... jusqu'à la prochaine ! Le bateau voisin, Suisse aussi,a vécu la même expérience. Les rats doivent penser que nous sommes des greniers à fromage ! Plus qu'une nuit à supporter cela (avec des bouteilles plastiques coupées sur les amarres pour essayer de l'empêcher de monter à bord), puisque grâce à Mike, super mécano, notre moteur fonctionne à nouveau (voir Histoire d'O). Demain on quitte enfin les Turks et Caïcos, direction Puerto Rico.




Vendredi 13 mai : Les Turks et Caïcos, comme leurs voisines les Bahamas, sont le pays du "conch", lambis en français. Ce mollusque qui devient rare aux Petites Antilles, est encore ici la base de l'alimentation, du moins dans les restaurants, même s'il est aussi menacé par la surpêche. Dans ce petit bar sur la plage, la fraîcheur du produit est assurée puisque le cuisinier sort les bêtes de leur coquille devant nous. C'est une technique un peu difficile, que Pierre maîtrise maintenant bien, que de couper le muscle qui retient fermement le lambis à sa maison. Si aux Antilles, on le mange principalement en fricassée, ici les recettes sont plus variées : conch fritters (accras), conch crackers (beignets), conch chowder (soupe), conch salad. Sur Anegada, j'ai cuisiné un ceviche de lambis à la mode mexicaine... délicieux
Dimanche 15 mai : en complément, voici une photo de Sally, la vedette de la "Conch Farm" que nous avons visité aujourd'hui. Intéressant de tout apprendre sur la vie de ces drôles de bêtes et sur leur élevage, unique au monde selon notre guide, Malheureusement, la ferme a été mise à mal par deux cyclones en 2008 mais auparavant elle fournissait en lambis tous les restaurants de l'île.



Vendredi 6 mai : Nous arrivons juste pour l'anniversaire du capitaine aux îles Turk et Caicos après 8 jours de navigation intensive, au près, en slalomant entre les îles des Bahamas. Comme le temps nous est compté avant le début de la saison cyclonique et que le prix d'entrée aux Bahamas est prohibitif pour y faire juste un ou deux arrêts, nous regardons les îles de loin et nous reposons parfois à l'abri d'une d'entre elle pour une nuit tranquille avec notre pavillon jaune hissé. Nous profitons tout de même de ses belles eaux turquoises, de quelques nuages impressionnants et de la pêche miraculeuse ! Mais pourquoi cette route difficile à l'est ? Voir la rubrique "Et après ?"



Mardi 26 avril 2011 : Nous sommes venus jusqu'aux USA principalement pour réparer la génératrice. Nous en avons profité pour d'autres achats intéressants et d'autres réparations bienvenues. Après une semaine d'American Way of Life, courant avec notre grosse Ford de supermarchés en shipchandlers entre deux plongées dans la câle moteur, nous nous octroyons enfin un jour de congé et de visite à Miami Beach. Plus précisément, c'est le quartier Art Déco de South Beach qui nous attire avec ses magnifiques façades et son architecture extravagante. C'est au Delano, hôtel/musée, que j'ai trouvé la chaise pour promener Pierre après son opération !



Dimanche 17 avril 2011 : Mais pourquoi il se déguise comme ça ? Et pourquoi il pêche si gros ? On va manger du thon pendant une semaine !
C'est que nous allons au pays de la démesure... 72 heures de navigation, parfois dans le Gulfstream, parfois à sa recherche, et nous embouquons la New River à Fort Lauderdale. Ce n'est pas l'ambiance du Rio Dulce ! Mais c'est étonnament plaisant, bordé de propriétés bien fleuries, un peu stressant tout de même car c'est dimanche et les bateaux de toutes tailles sortent pour la promenade. Nous remontons sur 4 nm, traversons en demandant l'ouverture de cinq ponts, dans le but de trouver ue marina abordable, à moins de 100 dollars la nuit si possible... démesure je vous dis !



Mardi 5 avril 2011 : Les exploits sportifs continuent... après les escaliers des temples mayas, nous nageons, snorkelons et kayakons à Isla Mujeres. Au coucher du soleil, c'est le repos bien mérité et la contemplation depuis le cockpit , avec parfois la chance d'avoir la compagnie d'un pélican.
Mais demain maman reprend l'avion pour la Suisse. Nous
avons toutes les deux bien profité de ce superbe mois ensemble.





Mardi 29 mars 2011 : Les routardes sont de retour ! Chichen Itza, Mérida, Uxmal et Ruta Puuc, Izamal, Valladolid ont été nos étapes, les bus locaux notre moyen de transport.
Nous revenons avec des souvenirs plein la tête et des photos plein l'appareil... dur, dur de sélectionner celles pour le flash !
Les sites mayas nous ont enchantées, les couleurs chatoyantes des villes coloniales nous ont éblouies mais c'est le sourire et la joie de vivre des habitants du Yucatan qui nous ont le plus touchées.



Dimanche 20 mars 2011 : Semaine "mondaine" à la marina Milagro où nous sommes entrés avant que Pierre ne s'envole pour la Suisse. Cette jolie petite marina a juste un ponton qui donne sur le bleu de la baie, mais elle a beaucoup d'autres attraits : un coin de rencontre avec une grande table, une salle de jeux et TV pour les enfants, une petite plage avec canoës et surtout un accueil très sympa. Nous sommes tout au bout, à droite de la photo et profitons du coucher de soleil tous les soirs, des petits déjeûners avec vue sur le mouillage et visite des pélicans, mais surtout d'une vie sociale trépidante ! Nous alternons apéritifs et repas internationaux : "ceviche" (fait par Jaime, le gérant), goulash (préparé par Gaby, marin hongrois), tortilla (préparé par nos amis basques de Sylver Cloud) et même viande séchée "suisse" préparée par Uli et que nous sommes les premières à déguster. Sur Anegada, c'est plutôt le café Nespresso qui attire les foules. Ce sont nos derniers moments avec Miti et Sylver Cloud qui vont profiter d'une fenêtre météo pour partir à l'est vers le terme de leur voyage de quatre ans pour les uns et huit ans pour les autres.



Lundi 14 mars 2011 : Ma maman nous a rejoints à Isla Mujeres, en face de Cancun. Comme la côte mexicaine est loin d'être un paradis pour la croisière, défigurée par le tourisme de masse, c'est à Isla Contoy, une réserve naturelle, que nous lui faisons prendre l'air... et la mer. Comme vous pouvez le voir, Pierre n'a aucun respect pour sa belle-mère... mais il lui a tout de même pêché deux beaux thazards. Nous nous régalons de balades sur le petit bout d'île qui nous est autorisé et de l'observation des frégates en train de nicher.



Mardi 1 mars 2011 : Repos pour la photographe ! Après les semaines épuisantes pour l'index droit à Guanaja et Rio Dulce, la remontée rapide du Belize, avec de belles navigations dans le courant portant au nord le jour et des arrêts derrières des cayes de mangrove la nuit, ne présente pas d'intérêt particulier. Notre tirant d'eau (encore lui...) ne nous permet pas d'aller sur la barrière extérieure. J'ai bien essayé d'immortaliser les lamentins mais ils ne se sont pas montrés coopérants. L'arrivée à notre dernier mouillage, sur l'atoll de Turneffe, m'a enfin permis un petit clic, suivi d'un grand clac quand les garde-côtes sont arrivés pour contrôler nos papiers, que nous n'avions pas faits. Nous pensions traverser rapidement le Belize en profitant de l'abri de la longue barrière de corail, sans aller à terre. Nous avons eu beau expliquer que le vent fort nous avait retenus plus longtemps que prévu et que nous partions le lendemain à 6h, le petit chef n'a rien voulu savoir. Il nous a accusés d'entrée illégale sur le territoire du Belize et nous a donné le choix entre retourner à terre faire les formalités ou lui "payer la taxe" sur place. Il n'a même pas pris la peine de relever le nom du bateau !

J'écris depuis l'atoll de Chinchorro, au Mexique. Pour la première fois, nous avons mouillé au milieu de la mer ! Rien à l'horizon, ni île, ni bateau... pourtant sous l'eau, la barrière de corail est à 10 m sur notre arrière. Elle nous a permis de passer avec juste 3 à 4 m de hauteur d'eau et de nous mouiller dans le sable blanc qui rend l'eau bien turquoise. Pas besoin de cartes (elles sont fausses par ici !), on se dirige à la couleur de l'eau. Mais la protection est mauvaise et le mouillage bien rouleur !
J'attends Puerto Morelos pour mettre cette page en ligne.



Samedi 19 février 2011 : Escapade à Tikal, notre premier site maya enfoui dans la jungle guatémaltèque. Superbe mais dur pour les genoux de Pierre. Lundi nous sortons du Rio et prenons la route du Mexique où d'autres sites nous attendent !



Samedi 12 février 2011 : Mais où es-tu Anegada ? Quelle est cette verdure autour de toi ? Et où est la mer ?
Et oui ! Nous sommes en eau douce ! Nous avons passé (difficilement) la barre à l'entrée du Rio Dulce, au Guatemala et l'avons remonté sur une trentaine de kilomètres, jusqu'à l'embouchure du Lac Izabal. Le paysage est somptueux et nous profitons d'une cure de chlorophylle pendant qu'Anegada se refait de beaux dessous au chantier Abel.



Samedi 5 février 2011 : Navigation idyllique hier, à 8 noeuds sous spi et grand soleil... en mangeant du Toblerone ! Le rêve !
Nous découvrons Utila après une semaine passée à Roatan. Du coup, je change mon flash d'hier (pour ceux qui suivent...!) car l'île, trop touristique, ne nous a pas laissé une impression "flash", à part LE supermarché qui vend LE Toblerone ! Utila, par contre, est plus photogénique avec ses peintures murales publicitaires ou décoratives. Comme Roatan, c'est une île dédiée à la plongée. Mais la seconde, plus petite, moins "américanisée" s'adresse plus aux jeunes avec une ambiance un peu baba-cool bien plaisante.


Mercredi 26 janvier 2011 : C'est les vacances pour les enfants de Guanaja qui n'ont pas beaucoup de distractions. Quand ils ont gagné ou reçu un petit sou, ils viennent à l'échoppe du coin (celle où nous buvons notre café !) et jouent à la loterie : ils choisissent un animal imprimé sur un petit rond (carte en haut de la photo centrale) . La vendeuse regarde le numéro caché écrit derrière le rond et donne le ballon correspondant. C'est le suspens... grand ballon, petit ballon, ballon long, énorme ballon !
Et qu'en font-ils ? Des catapultes... pour tuer les oiseaux me dit l'un d'eux... Mais mettez les devant la télé !


Mercredi 19 janvier 2011 : Guanaja... un nouveau coup de coeur ? Cela se pourrait bien ! Comment résister à ce village construit sur pilotis, à cette petite Venise du Honduras ? Le centre est construit sur une caye parcourue de canaux et à la périphérie les maisons sont carrément au-dessus de l'eau. Pas de route, tout le monde circule en "lancha". L'arrêt de "bus" est au bout du ponton principal, les "parkings" sont sous les maisons. Voilà très résumé pour l'aspect architectural mais il faudra un texte beaucoup plus long pour vous raconter la gentillesse, le sourire, l'accueil des habitants.



Mercredi 12 janvier 2011 : Non, nous n'avons pas disparu en mer ! Nous avons juste passé une dizaine de jours au paradis mais en sommes revenus... un peu à contrecoeur ! Entre San Andres et Guanaja se trouvent de nombreux "cayos" peu profond avec des petites barrières de corail, des îlots de sable et quelques cocotiers. Eau translucide et poissonneuse à souhait, personne à l'horizon sauf quelques bateaux de pêche à la langouste. Vous découvrirez tout cela bientôt... je ponds !


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